DOSSIER (2023) - Ces éleveurs aimeraient installer leurs troupeaux de moutons sous des panneaux solaires

Différents projets d’agrivoltaïsme sont à l’étude en Loire-Atlantique. À Lusanger et à Guémené-Penfao, où l’enquête publique a commencé lundi 5 juin, le groupe Abo wind a l’ambition de produire de l’énergie renouvelable sur des terres agricoles où de gros éleveurs d’ovins s’installeraient. Des projets contestés.

Par Marylise Couraud et Pauline Roussel

Philippe Boscherel et Élodie Crossouard sont éleveurs d’ovins à Sion-les-Mines. Ils espèrent pouvoir bénéficier de nouvelles terres à quelques pas de leur exploitation, à Lusanger, si le projet agrivoltaïque du groupe Abo Wind sort de terres.
Crédit photo : Pauline Roussel / Ouest-France

Nourrir et produire de l’énergie. Les deux à la fois, c’est l’ambition portée par l’agrivoltaïsme, une technique qui combine exploitation agricole et production d’énergie et que le gouvernement souhaite rapidement développer. Une loi adoptée cet hiver définit le cap et le cadre. 

En Loire-Atlantique, trois projets sont à l’étude. L’un à Nozay, sur des terres qui appartiennent au groupe du BTP Charrier. Et deux autres sur des prairies agricoles. Ces deux derniers dossiers cheminent difficilement : l’un est sur le bureau du préfet, le second a vu son enquête publique démarrer lundi 5 juin. Explications.

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Contexte

Article réalisé entre avril et juin 2023 dans le cadre d'un CDD d'un an à Ouest-France, au sein de la locale détachée de Châteaubriant.

Cet article s'inscrit dans un dossier, avec plusieurs entrées de lecture, portant sur l'agrivoltaïsme, ses enjeux et problématiques. Le tout au nord de la Loire-Atlantique, zone où les projets d'énergies renouvelables sont nombreux.

Publication

Article à lire en intégralité sur le site d'Ouest-France via ce lien : Ces éleveurs aimeraient installer leurs troupeaux de moutons sous des panneaux solaires

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